L'opera-folk «Les Filles de Caleb» - 3

Спасибо ) Какой он тут классный ))

Antoine Beaulieu



17 août 2011, 2:13

Par: Antoine Beaulieu



A propos de l'événement
Filles de Caleb (Les)



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Si vous saviez comme j'ai aimé!!


Tout comme Madame Tremblay, j'ai assisté à ce spectacle, et ce qu'elle dit est tout à fait vrai! Le duo Daniel Boucher et Luce Dufault est magique, tout comme celui de Bruno Pelletier et Stéphanie Lapointe! Michel Rivard est surprenant sur scène, il se mêle même à la pièce de temps à autre (ceux qui l'ont vu savent de quoi je parle...)! J'écoute d'ailleurs fréquemment l'album des Filles de Caleb, et les pièces comme Voir grand, voir devant 2 (duo magique entre Luce Dufault et Carolanne d'Astous Paquet (belle découverte, bravo!!)) ou encore Ma belle brume (je la connais par coeur, quels textes, et quel voix de Daniel Boucher)! Merci pour cette belle pièce!!


http://www.voir.ca/blogs/antoinebeaulieu/archive/2011/08/17/si-vous-saviez-comme-j-ai-aim-233.aspx

Как и мадам Трембле, я присутствовал на этом спектакле и все что она сказала сущая правда! Дуэт Даниэля Буше и Люс Дюфо восхитителен, также как и дуэт Брюно Пельтье и Стефани Лапуант! Мишель Ривар изумителен на сцене, время от времени он ???? (те кто видел, понимают о чем я (я не видела, поэтому не совсем понимаю) К тому же я часто слушаю альбом "Дочери Калеба", особенно песни Voir grand, voir devant 2 (волшебный дуэт Люс Дюфо и Каролан дАсту Паке (настоящее открытие, браво) и Ma belle brume (которую я знаю наизусть, какой текст, какой голос Даниеэля Буше!) Спасибо за эту прекрасную песню!!!

время от времени он ????

что-то вроде:
время от времени он даже присоединяется к остальным актерам в спектакле (имеются ввиду его роль священника и когда он одного из мужиков в баре играет)

Les Filles de Caleb L'Opéra-Folk
Première ce soir à Shawinigan! Nous sommes ici jusqu'au 27 août. Billets: http://ow.ly/62Ldf


Réseau Ovation - Les Filles de Caleb
www.ovation.qc.ca..



about an hour ago

*буквально пробегая мимо*

Интервью с Люс:




Linda Corbo
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) L'opéra-folk Les Filles de Caleb a amorcé mercredi soir une série de cinq représentations en quatre jours au Centre des arts de Shawinigan (il y aura deux représentations samedi). En visitant la Mauricie, la distribution se retrouve du coup dans la région où est née la grande saga d'Arlette Cousture, revisitée aujourd'hui par la mise en scène d'Yvon Bilodeau et la musique de Michel Rivard.

Pour les Luce Dufault, Daniel Boucher, Catherine Sénart, Bruno Pelletier, Stéphanie Lapointe et compagnie, qui offrent aujourd'hui cette histoire en textes et en chansons, il s'agissait hier soir d'un retour sur les planches après une pause de trois semaines.

Interviewée au matin de cette série shawinaganaise, Luce Dufault, qui campe désormais Émilie Bordeleau, avouait que la pause avait créé quelques relents de trac chez elle. «On a toujours peur d'avoir tout oublié mais hier, on a effectué une petite relecture et tout est là», sourit-elle.

Luce Dufault vit ici une nervosité minime comparativement aux craintes que lui faisaient vivre cette nouvelle aventure sur scène lorsqu'on lui en a fait la demande. La chanteuse avait d'ailleurs refusé cette invitation au départ, avant de se laisser séduire par le projet.

C'est que la chanteuse a beau avoir vécu deux comédies musicales avec Starmania et La Légende de Jimmy au début de sa carrière, elle n'avait encore jamais interprété de dialogues parlés sur scène, puisque ces deux productions étaient complètement composées de chansons.

Or avec le recul, Luce Dufault n'a pas regretté d'avoir succombé, même qu'elle souhaite qu'une autre demande du genre se présente un jour. «J'étais tellement bien dirigée et entourée que tout s'est fait doucement. Il y a des jours où je devais me faire plus violence, lors des répétitions, mais une fois la valve ouverte, ça allait. Autant au début je n'avais aucune idée si j'allais m'en tirer, autant maintenant je suis contente et confiante», dit-elle.

Même qu'elle y a pris goût. «J'ai découvert que j'adore jouer et être une autre que moi-même. On est rendu à plus d'une vingtaine de représentations et je pense bien que je peux parler pour tout le monde en disant qu'on aimerait faire ce spectacle le plus longtemps possible.»

Avec 28 représentations données à ce jour sur un total prévu de 46 représentations, Luce Dufault est rendue à une étape où entrer sur scène est une réelle partie de plaisir. «C'est comme aller jouer, vraiment», rigole-t-elle. Quoique le jeu est exigeant. «Je trouve ça plus épuisant que pour mes shows à moi (de musique), surtout les journées où on donne deux représentations (comme ce sera le cas samedi à Shawinigan). Avec Starmania, on faisait sept shows par semaine mais je ne me souvenais pas à quel point c'était exigeant. Faut dire que j'étais plus jeune aussi», rigole-t-elle.

En revanche, l'énergie de l'équipe est énergisante, dit-elle, et la chimie opère, autant dans le groupe qu'entre les nouveaux Ovila (Daniel Boucher) et Émilie. Luce Dufault avoue d'ailleurs avoir travaillé sur l'abandon, en répétitions, pour assumer certaines scènes amoureuses. «Au début, je me sentais comme quelqu'un qui n'avait jamais embrassé de sa vie tellement j'étais gauche, mais ce n'était que le temps de casser la glace. Aujourd'hui c'est quelque chose de technique, comme une phrase à dire.»

Actuellement, il reste 18 représentations au calendrier de la production des Filles de Caleb. En principe, la tournée devrait se terminer le 29 octobre, à Valleyfield, mais actuellement les producteurs sont à étudier des plans pour 2012.

http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/arts-spectacles/201108/25/01-4428718-emilie-bordeleau-est-de-retour-chez-elle.php

Catherine Sénart

Photo: Blais Bilinski



François Houde
Le Nouvelliste


(Trois-Rivières) Dans la tête des téléspectateurs, le personnage de Berthe Auclair dans Les filles de Caleb a les traits de Nathalie Mallette. Dans le spectacle musical qui sera présenté au Centre des arts de Shawinigan les 24, 25, 26 et 27 août prochains, elle aura le visage et surtout la voix de Catherine Sénart.


La comédienne vit ce rôle comme un véritable bonheur qui rassasie autant la comédienne que la chanteuse en elle. La carrière de Catherine Sénart est ainsi partagée en deux volets distincts, mais profondément liés. «Le spectacle est une très belle expérience, décrit-elle. Entre autres raisons, pour le plaisir que j'ai à côtoyer les autres interprètes. C'est un peu nouveau pour moi de travailler avec des gens du milieu de la chanson comme Michel Rivard, Luce Dufault ou Bruno Pelletier et je les découvre avec admiration.»

«Tout le monde sur la distribution doit jouer et chanter et franchement, tout le monde est magnifique. Par exemple, même si elle n'a jamais été purement comédienne, je peux vous dire que Luce Dufault a le jeu dans le sang en plus d'être une extraordinaire chanteuse. Il faut dire que tout le monde dans la troupe a une expérience des comédies musicales alors tout le monde est très à l'aise avec la forme du spectacle.»

Dès les premières chansons proposées, le travail pour convaincre Catherine Sénart de jouer dans Les filles de Caleb a été du gâteau. Les partitions déchiffrées, elle a complètement adhéré à la proposition de Michel Rivard quant au volet musical de l'oeuvre. «J'ai été marquée par le roman et la série télévisée comme tellement de gens et j'étais flattée que Michel Rivard m'offre le rôle de Berthe. Par contre, je n'aurais pas accepté si je n'avais pas été séduite par les chansons. Il ne faut pas oublier que c'est un projet de longue haleine qui va s'étirer encore pour un bon bout de temps: si on n'est pas amoureux du contenu, ça peut être long longtemps.»


«J'ai été ravie autant du travail de Michel que du livret de Micheline Lanctôt. Je trouve qu'avec ses chansons, Michel a répondu brillamment aux enjeux de fond que propose l'histoire. Il a véritablement mis son talent au service de l'histoire alors que Micheline a fait une synthèse efficace et intelligente des romans. Ajouter de la musique à une histoire, ça magnifie toujours les émotions.»

«Quand on a commencé les répétitions, on n'avait pas toutes les chansons. On a commencé à travailler avec ce qu'on avait et d'autres chansons nous arrivaient au cours des répétitions, au compte-gouttes. On était constamment émus juste à les travailler. Il y a une chanson que Luce Dufault interprète seule qu'elle n'a jamais réussi à chanter au complet sans pleurer lors des répétitions. Elle l'a faite au complet la première fois lors de la première du spectacle.»

«Avec le recul, à force de les chanter, j'ai découvert toute la profondeur des chansons; j'en découvre de nouveaux aspects encore aujourd'hui. Pourquoi, maman, pourquoi?, interprétée par Stéphanie Lapointe s'adresse parfaitement aux enfants de parents divorcés d'aujourd'hui. Ce sont des thèmes ultra-modernes en plus d'être très touchants. Ça vient nous chercher très profondément parce que cette histoire de famille dysfonctionnelle avant la lettre, ça touche à notre réalité actuelle. On le constate, lors des représentations, combien le public est ému.»

Pour ce qui est de sa Berthe, elle en parle comme d'un personnage triste, au destin tragique. «À l'époque, une femme n'avait pas tellement d'alternative dans la vie: soit elle se mariait, soit elle devenait soeur ou enseignante. Elle a choisi de devenir soeur mais ce n'était pas sa vraie vocation. Après qu'Émilie lui eut dit ses quatre vérités lors d'une visite au couvent, Berthe se suicide. C'est une triste histoire, mais c'est un très beau rôle, un grand plaisir de comédienne.»

Double vocation

Plaisir d'autant plus grand qu'elle retrouve ici l'amalgame de ses deux passions professionnelles: le jeu et le chant. Fille de la soprano Céline Dussault qui a longtemps enseigné à Trois-Rivières, elle a développé jeune sa voix et un amour du chant sans s'astreindre à la formation classique. Elle a plutôt choisi d'étudier à l'École nationale de théâtre du Canada, laissant ainsi le chant dans l'ombre pendant un temps.

«La musique a toujours été présente dans ma vie d'une façon ou d'une autre, mais je voulais devenir comédienne tout en travaillant ma voix en parallèle sans vraiment assumer cette part-là de moi. À un moment donné, dans le milieu théâtral, la rumeur a couru comme quoi je chantais et on m'a demandé de le faire et avec My Fair Lady, j'ai ouvert un nouveau créneau. Ces dernières années, j'ai beaucoup combiné les deux, ce qui est très bien. On est dans un milieu qui catégorise facilement: j'aimerais pouvoir continuer de chanter d'un côté et de jouer de l'autre sans être identifiée de façon définitive à l'un ou l'autre.»

Des chansons de Stéphane Venne

«C'est un spectacle tout simple, sous la forme piano-voix. Ça faisait longtemps que je voulais monter un spectacle de chansons sur l'amour pour lequel j'avais commencé à écrire des textes pouvant faire les liens entre les chansons. En fouillant pour trouver des chansons collant à mon propos, Stéphane Venne est revenu à plusieurs reprises et finalement, il s'est imposé complètement. Je suis même allée aux Archives nationales pour y dénicher une partie de son répertoire, pratiquement disparu. C'était une vraie mine d'or! Il a écrit des choses magnifiques pour des chanteuses, particulièrement.»

«C'est un spectacle tout simple et intime dans lequel je revisite complètement les chansons, à ma façon. Je pense même qu'à certains moments, les gens vont prendre du temps à reconnaître des chansons qui leur sont familières tellement je leur donne ma couleur particulière.»

«C'est un voyage spécial au pays de l'amour que je propose au public. C'est d'autant plus personnel que ce sont mes textes qui accompagnent le tout, ce qui m'a permis de découvrir l'écriture, un processus intime et introspectif très différent de ce que je connaissais dans le jeu ou le chant. J'ai beaucoup aimé.»

http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/week-end/201108/19/01-4427344-personnage-tragique-interprete-passionnee.php

*снова пробегая мимо*

http://tva.canoe.ca/stations/chem/nouvelle/20110825.html#174138 - репортаж о спектаклях в Shawinigan. (жать на кнопочку extrait video)
У Люс новая стрижка)))))
Вытяните кто-нибудь, пожалуйста, а то я без прог сижу пока

Linda Corbo
Le Nouvelliste


(Shawinigan) L'opéra-folk Les Filles de Caleb est débarqué au Centre des arts de Shawinigan mercredi soir pour une série de cinq représentations dont la première a été chaudement accueillie, la distribution recevant une ovation nourrie et soutenue à l'issue des trois heures de la représentation. Si bien que les membres de l'imposante distribution sont ressortis de scène avec de bien larges sourires.


Dans le fief même des Filles de Caleb, la production a rejoint son auditoire avec un travail colossal à plusieurs points de vue, à commencer par le défi de rapporter les innombrables éléments de cette saga sur scène en quelque 25 chansons qui nous permettent de traverser les trois tomes d'Arlette Cousture, et ce, sans problème.

Autre défi, celui de rassembler des comédiens et des chanteurs qui parviennent à créer une synergie efficace malgré le mélange des genres et les expériences de jeu passablement inégales au sein de la distribution.

L'exercice a néanmoins ses limites. En trois heures de spectacle, si le public ne souffre pas trop de longueurs, il fait néanmoins face à une histoire qui peut sembler par moments bien linéaire, souvent chargée d'intensité mais sans véritable rebondissements, se déroulant sous nos yeux comme un long fleuve tranquille.


La première portion de la soirée repose sur la relation passionnelle et houleuse entre Émilie Bordeleau (Luce Dufault) et Ovila Pronovost (Daniel Boucher), alors que la deuxième portion de soirée aborde davantage l'histoire de Blanche (Stéphanie Lapointe) et de ses soupirants Napoléon (excellent Bruno Pelletier) et Clovis, interprété par un Jean-François Poulin qui s'avère une bien agréable surprise, le jeune homme déployant un charisme indéniable.

Dans l'effet d'ensemble, le tout repose sur une mise en scène qui donne à apprécier de très beaux effets de scénographie, notamment avec des projections qui nous aident à changer de lieux et à traverser les époques tout en laissant la scène suffisamment dégagée pour permettre un belle circulation du côté des interprètes. En revanche, la direction d'acteur laisse parfois perplexe, certains comédiens semblant avoir du mal à trouver la manière de gérer leurs déplacements.

À cet effet, on peut penser à Daniel Boucher, qui nous sert un Ovila intense comme on peu le souhaiter, mais qui adopte malheureusement une gestuelle redondante et dodelinante qui dérange, qui fait même sourire à l'occasion. Mercredi soir, on a d'ailleurs eu droit à un éclat de rire généralisé dans la salle lorsqu'il est arrivé en Ovila vieilli, et sortant du bois de l'Abitibi. Quelqu'un peut aviser le metteur en scène qu'on a davantage l'impression de voir resurgir le Yéti?

Daniel Boucher a une puissante présence sur scène, ce qui est tout à son honneur. Mais du même coup, sa personnalité est si forte qu'elle devient difficile à dissimuler au profit d'un personnage. À ses côtés, Luce Dufault relève pour sa part son pari. En Émilie Bordeleau jeune, elle possède la fraîcheur et la fougue caractéristiques à son personnage alors qu'en fin de soirée, elle sait aussi se faire touchante.

Il n'en demeure pas moins qu'on mesure toute la force d'un comédien d'expérience sur scène en observant le travail d'un Yves Soutière qui, dans la peau de l'inspecteur Henri Douville, en impose avec brio. Même chose quand on mesure la performance de Catherine Sénart qui, dans le jeu comme dans la note, nous sert une Berthe impeccable.

L'autre élément-vedette de la soirée est indéniablement la musique de Michel Rivard. Sur le plan des paroles, les textes servent efficacement la trame et recèlent certaines lignes tout à fait suaves, un élément important puisque la soirée se déroule principalement en chansons, les dialogues servant davantage de liens entre les pièces.

C'est du côté de la musique qu'on accuse certaines faiblesses, non pas dans la qualité des mélodies, mais plutôt dans l'uniformité que Rivard a donnée à son répertoire. Si bien qu'au sortir de la salle, on peut avoir l'impression d'avoir écouté une seule et même pièce tout au long de la soirée.

La production accuse donc certaines faiblesses, certes, ce qui ne parvient tout de même pas à éclipser un plaisir certain à se retrouver devant ces Filles de Caleb. Pour la voix magnifique d'une Marie-Michèle Desrosiers, pour la douceur candide d'une Stéphanie Lapointe, pour les pointes d'humour que Bruno Pelletier parvient à intégrer à son jeu, pour la virtuosité des sept musiciens sur scène, et parce qu'il est toujours tellement agréable de se faire raconter une si jolie histoire, la production offre aux spectateurs l'occasion de passer une fort belle soirée. La troupe se reprend d'ailleurs vendredi soir ainsi que samedi en après-midi et en soirée.


http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/arts-spectacles/201108/26/01-4429079-les-filles-de-caleb-les-hauts-et-les-bas-dun-opera-folk.php

Ева пишет:*снова пробегая мимо*

http://tva.canoe.ca/stations/chem/nouvelle/20110825.html#174138 - репортаж о спектаклях в Shawinigan. (жать на кнопочку extrait video)
У Люс новая стрижка)))))
Вытяните кто-нибудь, пожалуйста, а то я без прог сижу пока

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2011-08-25 - LFDC - о спектаклях в Shawinigan - Люс Дюфо (tva.canoe.ca).wmv

Спасибо девочки!

Under 25 aout: troisieme partie --

http://www.radio-canada.ca/emissions/Telejournal_Mauricie/2010-2011/

(Also interview avec Daniel Boucher: http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/CKTM/LeTelejournalMauricie201108241759.asx Enjoy!)

2011.08.25 - Le Telejournal Mauricie.wmv
Размер: 107.26 Мб
http://ifolder.ru/25412107

2011.08.24 - Le Telejournal Mauricie - entrevue avec Daniel Boucher.wmv
Размер: 107.32 Мб
http://ifolder.ru/25411608

JulietSoleil
спасибо большое!

Fleur_de_lys2525
Merciiiiii!

wabo hibou
уххуу! спасибо!

Интервью с Арлетт Кустюр: Arlette Cousture aime renouer avec ses Filles de Caleb

Фоточка:

Не знаю, куда принести это, поэтому несу сюда.
С Днем Знаний всех!

Спасибо! Присоединяюсь к поздравлению: всех с Днем знаний!!!
Какой Брюн здесь!

Maxy пишет: Какой Брюн здесь!

Активно стремится к знаниям!!!)))

Tattoo пишет:

Maxy пишет: Какой Брюн здесь!

Активно стремится к знаниям!!!)))

Отличник... Писааатель...