А в Канаде сегодня...
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А в Канаде сегодня...
Иногда попадаются интересные новости о Канаде, сваливайте их сюда, если не заслуживает отдельного топа.
А в Торонто сейчас Интернациональный кинофестиваль. Вот ссыль, кому интересно. http://tiff08.ca/default.aspx
А в Торонто сейчас Интернациональный кинофестиваль. Вот ссыль, кому интересно. http://tiff08.ca/default.aspx
Re: А в Канаде сегодня...
Хэллоуин в Монреале
Оказывается, Монреаль так и кишит привидениями!
The Old Montreal Ghost Walking Tour http://gocanada.about.com/gi/dynamic/offsite.htm?zi=1/XJ&sdn=gocanada&cdn=travel&tm=99&gps=78_25_1676_885&f=00&su=p284.9.336.ip_p531.50.336.ip_&tt=3&bt=0&bts=0&zu=http%3A//www.ghosthaunts.com/montreal_ghosts.html
Оказывается, Монреаль так и кишит привидениями!
The Old Montreal Ghost Walking Tour http://gocanada.about.com/gi/dynamic/offsite.htm?zi=1/XJ&sdn=gocanada&cdn=travel&tm=99&gps=78_25_1676_885&f=00&su=p284.9.336.ip_p531.50.336.ip_&tt=3&bt=0&bts=0&zu=http%3A//www.ghosthaunts.com/montreal_ghosts.html
Re: А в Канаде сегодня...
Квебекские родители протестуют против обязательной школьной программы, которая показывает гомосексуальные отношения, как нормальные (с первого класса), знакомит детей с мировыми религиями и призывает сомневаться в религии родителей. Родительского согласия срашивать не обязательно, согласно новым правилам. Католики составляют 80% населения провинции, им не нравится, что их детей толкают на сторону. Марш протеста планируется на 20-е октября.
http://www.lifesitenews.com/ldn/2008/oct/08101702.html
http://www.lifesitenews.com/ldn/2007/oct/07100409.html
http://www.lifesitenews.com/ldn/2008/oct/08101702.html
http://www.lifesitenews.com/ldn/2007/oct/07100409.html
Re: А в Канаде сегодня...
Это не совсем о Брюно, благотворительый концерт на реставрацию церкви de Saint-Jacques,; просто указывается, что он выступал там с концертами.
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Plongez-vous dans l’esprit de Noël avec Natalie Choquette et la Sinfonia de Lanaudière
Aux Spectacles jacobins
Article mis en ligne le 28 novembre 2008 à 17:54
Soyez le premier à commenter cet article
Dans le cadre des Spectacles jacobins, la Fabrique de Saint-Jacques invite toute la population le samedi 6 décembre prochain, dès 20 heures, au spectacle de Noël de Natalie Choquette, accompagnée pour l’occasion de la Sinfonia de Lanaudière.
Natalie Choquette plongera donc les mélomanes dans une ambiance annonçant le temps des fêtes grâce à son spectacle composé de véritables classiques de Noël. La soprano de calibre international saura assurément charmer le public par sa voix magnifique.
Procurez-vous les billets pour cette représentation à l’hôtel de ville de Saint-Jacques ou au 450-839-3671 par carte Visa ou MasterCard, pour ce qui est des sièges réservés situés dans la section avant de l’église et ce, au coût de 34 $.
En ce qui a trait aux billets en admission générale au coût de 29 $, il est possible de se les procurer à l’hôtel de ville en personne ou par téléphone, ainsi qu’à la pharmacie Uniprix et au marché Provigo de Saint-Jacques de même qu’à la boutique Kaki plein air de Joliette. Il sera aussi possible de vous procurer des billets à la porte le soir de l’événement.
Conçu dans le but d’amasser des fonds afin de revitaliser l’église de Saint-Jacques, le concept des Spectacles jacobins a fait sa lancée en 2007 et a présenté depuis des spectacles de Patrick Norman, Marie-Michèle Desrosiers, Luce Dufault ainsi que Bruno Pelletier et le GrosZorchestre. Les critiques sont unanimes : les gens qui étaient présents sont émerveillés par le grand professionnalisme de l’organisation, la qualité de la sonorisation et des éclairages de même que par le caractère convivial et chaleureux de l’événement. Ne ratez pas cette occasion de contribuer à la revitalisation de l’église de Saint-Jacques tout en passant une agréable soirée!
http://www.laction.com/article-277053-Plongezvous-dans-lesprit-de-Noel-avec-Natalie-Choquette-et-la-Sinfonia-de-Lanaudiere.html
Pour plus d’informations, visitez le site www.spectaclesjacobins.com
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Plongez-vous dans l’esprit de Noël avec Natalie Choquette et la Sinfonia de Lanaudière
Aux Spectacles jacobins
Article mis en ligne le 28 novembre 2008 à 17:54
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Dans le cadre des Spectacles jacobins, la Fabrique de Saint-Jacques invite toute la population le samedi 6 décembre prochain, dès 20 heures, au spectacle de Noël de Natalie Choquette, accompagnée pour l’occasion de la Sinfonia de Lanaudière.
Natalie Choquette plongera donc les mélomanes dans une ambiance annonçant le temps des fêtes grâce à son spectacle composé de véritables classiques de Noël. La soprano de calibre international saura assurément charmer le public par sa voix magnifique.
Procurez-vous les billets pour cette représentation à l’hôtel de ville de Saint-Jacques ou au 450-839-3671 par carte Visa ou MasterCard, pour ce qui est des sièges réservés situés dans la section avant de l’église et ce, au coût de 34 $.
En ce qui a trait aux billets en admission générale au coût de 29 $, il est possible de se les procurer à l’hôtel de ville en personne ou par téléphone, ainsi qu’à la pharmacie Uniprix et au marché Provigo de Saint-Jacques de même qu’à la boutique Kaki plein air de Joliette. Il sera aussi possible de vous procurer des billets à la porte le soir de l’événement.
Conçu dans le but d’amasser des fonds afin de revitaliser l’église de Saint-Jacques, le concept des Spectacles jacobins a fait sa lancée en 2007 et a présenté depuis des spectacles de Patrick Norman, Marie-Michèle Desrosiers, Luce Dufault ainsi que Bruno Pelletier et le GrosZorchestre. Les critiques sont unanimes : les gens qui étaient présents sont émerveillés par le grand professionnalisme de l’organisation, la qualité de la sonorisation et des éclairages de même que par le caractère convivial et chaleureux de l’événement. Ne ratez pas cette occasion de contribuer à la revitalisation de l’église de Saint-Jacques tout en passant une agréable soirée!
http://www.laction.com/article-277053-Plongezvous-dans-lesprit-de-Noel-avec-Natalie-Choquette-et-la-Sinfonia-de-Lanaudiere.html
Pour plus d’informations, visitez le site www.spectaclesjacobins.com
Re: А в Канаде сегодня...
Retour sur deux décennies de rock
Elyzabeth Diago se rappellera d'agréables souvenirs en foulant la scène de la salle de spectacles du Casino du lac Leamy.
Elle y sera du 5 au 30 décembre avec les autres artistes de la revue musicale Rock Story. Une prestation où les airs les plus populaires des années 1970 et 1980 seront revisités.
Ces chansons, l'interprète a eu l'occasion de les faire à maintes reprises durant les premières années de sa carrière. Pas sur une scène professionnelle. Plutôt dans des bars.
« Il faut commencer en quelque part, a-t-elle insisté à l'occasion d'un entretien téléphonique. Ces premières années ont été révélatrices et elles m'ont convaincue de vouloir faire ma place dans ce métier-là. Quand les producteurs m'ont offert la chance de faire partie de la distribution de Rock Story, je me voyais mal la décliner. »
En audition, le chanteur Jean Ravel lui a demandé d'interpréter a capella la chanson Alone, du groupe Heart. « Ann Wilson en solo : sur le coup, j'étais très intimidée, mais il faut croire que ça s'est bien passé. »
Le répertoire de Rock Story est passablement vaste. Il y a les groupes, U2, Styx, Queen et les Eagles, entre autres, mais il y a surtout les chanteuses Annie Lennox, Pat Benatar, Bonnie Tyler et, évidemment, Ann Wilson.
« Des femmes avec des grandes voix, a commenté Elyzabeth Diaga. Ce sont mes idoles d'enfance. Je me souviens les avoir vues pour la première fois, à New York. C'était durant les premières années du réseau MTV. »
À New York ? Si. C'était au moment où elle accompagnait sa mère, cantatrice, à ses concerts dans la prestigieuse salle du New York Metropolitain. « J'ai toujours apprécié ce genre de musique. Certaines ont tenu le coup et d'autres se sont effacées. Encore aujourd'hui, je me demande ce qui a bien pu se passer avec Alannah Myles. On l'a peu entendue après Black Velvet.
La revue musicale Rock Story a été présentée une cinquantaine de fois au Cabaret du Casino de Montréal, en 2007-2008, avant de débarquer ailleurs au Québec. Plus de 125 000 spectateurs ont eu l'occasion de la voir et, surtout, de l'entendre.
« C'est un fou roulant et le public n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer. »
Sur scène, les deux principaux interprètes, Jean Ravel et Elyzabeth Diaga sont accompagnés de sept musiciens et choristes. Les chansons sont livrées sous forme de pot-pourri, sauf pour Hotel California, des Eagles.
« Le spectacle se déploie tel un film. Il y a une histoire et elle se termine avec la déchirure, soit avec la chanson Total Eclipse Of The Heart, de Bonnie Tyler. »
Rock Story est la deuxième revue musicale à se retrouver dans le curriculum vitae d'Elyzabeth Diaga. Elle a aussi fait partie du Dracula de Bruno Pelletier. « J'étais une des trois vampires féminines du trio gothique. Ç'a été une expérience unique, comme l'est devenu Rock Story.
La chanteuse compte également un disque à son crédit, un album paru en 1996 et réalisé par le bassiste de Céline Dion, Yves Frulla. « Malheureusement, il n'y avait pas vraiment de place pour du rock alternatif, à cette époque. »
http://www.cyberpresse.ca/le-droit/arts/200812/03/01-807105-retour-sur-deux-decennies-de-rock.php
Elyzabeth Diago se rappellera d'agréables souvenirs en foulant la scène de la salle de spectacles du Casino du lac Leamy.
Elle y sera du 5 au 30 décembre avec les autres artistes de la revue musicale Rock Story. Une prestation où les airs les plus populaires des années 1970 et 1980 seront revisités.
Ces chansons, l'interprète a eu l'occasion de les faire à maintes reprises durant les premières années de sa carrière. Pas sur une scène professionnelle. Plutôt dans des bars.
« Il faut commencer en quelque part, a-t-elle insisté à l'occasion d'un entretien téléphonique. Ces premières années ont été révélatrices et elles m'ont convaincue de vouloir faire ma place dans ce métier-là. Quand les producteurs m'ont offert la chance de faire partie de la distribution de Rock Story, je me voyais mal la décliner. »
En audition, le chanteur Jean Ravel lui a demandé d'interpréter a capella la chanson Alone, du groupe Heart. « Ann Wilson en solo : sur le coup, j'étais très intimidée, mais il faut croire que ça s'est bien passé. »
Le répertoire de Rock Story est passablement vaste. Il y a les groupes, U2, Styx, Queen et les Eagles, entre autres, mais il y a surtout les chanteuses Annie Lennox, Pat Benatar, Bonnie Tyler et, évidemment, Ann Wilson.
« Des femmes avec des grandes voix, a commenté Elyzabeth Diaga. Ce sont mes idoles d'enfance. Je me souviens les avoir vues pour la première fois, à New York. C'était durant les premières années du réseau MTV. »
À New York ? Si. C'était au moment où elle accompagnait sa mère, cantatrice, à ses concerts dans la prestigieuse salle du New York Metropolitain. « J'ai toujours apprécié ce genre de musique. Certaines ont tenu le coup et d'autres se sont effacées. Encore aujourd'hui, je me demande ce qui a bien pu se passer avec Alannah Myles. On l'a peu entendue après Black Velvet.
La revue musicale Rock Story a été présentée une cinquantaine de fois au Cabaret du Casino de Montréal, en 2007-2008, avant de débarquer ailleurs au Québec. Plus de 125 000 spectateurs ont eu l'occasion de la voir et, surtout, de l'entendre.
« C'est un fou roulant et le public n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer. »
Sur scène, les deux principaux interprètes, Jean Ravel et Elyzabeth Diaga sont accompagnés de sept musiciens et choristes. Les chansons sont livrées sous forme de pot-pourri, sauf pour Hotel California, des Eagles.
« Le spectacle se déploie tel un film. Il y a une histoire et elle se termine avec la déchirure, soit avec la chanson Total Eclipse Of The Heart, de Bonnie Tyler. »
Rock Story est la deuxième revue musicale à se retrouver dans le curriculum vitae d'Elyzabeth Diaga. Elle a aussi fait partie du Dracula de Bruno Pelletier. « J'étais une des trois vampires féminines du trio gothique. Ç'a été une expérience unique, comme l'est devenu Rock Story.
La chanteuse compte également un disque à son crédit, un album paru en 1996 et réalisé par le bassiste de Céline Dion, Yves Frulla. « Malheureusement, il n'y avait pas vraiment de place pour du rock alternatif, à cette époque. »
http://www.cyberpresse.ca/le-droit/arts/200812/03/01-807105-retour-sur-deux-decennies-de-rock.php
Re: А в Канаде сегодня...
MARTIN GIROUX AU CLUB SODA
Un accomplissement
Murielle Chatelier
09-12-2008 | 04h00
L’ex-académicien Martin Giroux se prépare à faire sa première rentrée montréalaise officielle. Un grand moment d’excitation pour le jeune chanteur, qui a quand même pris le temps de répondre à nos questions.
QUE REPRÉSENTE POUR TOI CETTE PREMIÈRE GRANDE RENTRÉE MONTRÉALAISE?
C’est l’accomplissement de ce que j’ai toujours voulu faire– avoir une carrière de chanteur–, et je sais que ça fait cliché de dire ça!
À QUOI EST-CE QUE TES FANS PEUVENT S’ATTENDRE LORS DE CETTE SOIRÉE?
Ça va être un show qui bouge, avec beaucoup d’énergie. Même si la salle du Club Soda est grande, le public va ressentir ma complicité avec les musiciens. Et ce ne sera pas une grande surprise de voir que je m’amuse beaucoup! J’aurai mon grand sourire estampé sur la face.
COMME POUR TON SECOND ALBUM, T’ES-TU IMPLIQUÉ À FOND POUR PRÉPARER TA RENTRÉE?
Oui, tout à fait. J’ai mis mon mot dans chaque étape de la préparation du spectacle, même sur le plan de la mise en scène. C’est moi qui ai décidé quoi dire entre chaque chanson. J’y ai vraiment ajouté ma sauce, comme on dit!
COMMENT DIRAIS-TU QUE TA CARRIÈRE A ÉVOLUÉ DEPUIS LA SORTIE DE TON PREMIER ALBUM?
Au cours des dernières années, j’ai beaucoup appris des artistes de renom avec qui j’ai travaillé, dont Bruno Pelletier. Ces rencontres ont été très inspirantes et ça m’a donné beaucoup d’idées pour mes nouvelles chansons. Je suis fier du trajet que j’ai fait jusqu’ici, mais il m’en reste beaucoup à faire.
POURQUOI LE TITRE EN CAVALE POUR TON DEUXIÈME ALBUM?
Ce titre représente le sentiment d’évasion qui habite un artiste quand il crée. Quand j’écrivais mes chansons, j’avais aussi à l’esprit les tournées qu’on entreprend, pendant lesquelles on est souvent loin de la famille. À ce moment-là, c’était vraiment le meilleur titre que je pouvais choisir pour m’exprimer.
Martin Giroux, le mercredi 10 décembre au Club Soda, à
http://www.canoe.com/divertissement/musique/entrevues/2008/12/05/7649756-jdm.html
Un accomplissement
Murielle Chatelier
09-12-2008 | 04h00
L’ex-académicien Martin Giroux se prépare à faire sa première rentrée montréalaise officielle. Un grand moment d’excitation pour le jeune chanteur, qui a quand même pris le temps de répondre à nos questions.
QUE REPRÉSENTE POUR TOI CETTE PREMIÈRE GRANDE RENTRÉE MONTRÉALAISE?
C’est l’accomplissement de ce que j’ai toujours voulu faire– avoir une carrière de chanteur–, et je sais que ça fait cliché de dire ça!
À QUOI EST-CE QUE TES FANS PEUVENT S’ATTENDRE LORS DE CETTE SOIRÉE?
Ça va être un show qui bouge, avec beaucoup d’énergie. Même si la salle du Club Soda est grande, le public va ressentir ma complicité avec les musiciens. Et ce ne sera pas une grande surprise de voir que je m’amuse beaucoup! J’aurai mon grand sourire estampé sur la face.
COMME POUR TON SECOND ALBUM, T’ES-TU IMPLIQUÉ À FOND POUR PRÉPARER TA RENTRÉE?
Oui, tout à fait. J’ai mis mon mot dans chaque étape de la préparation du spectacle, même sur le plan de la mise en scène. C’est moi qui ai décidé quoi dire entre chaque chanson. J’y ai vraiment ajouté ma sauce, comme on dit!
COMMENT DIRAIS-TU QUE TA CARRIÈRE A ÉVOLUÉ DEPUIS LA SORTIE DE TON PREMIER ALBUM?
Au cours des dernières années, j’ai beaucoup appris des artistes de renom avec qui j’ai travaillé, dont Bruno Pelletier. Ces rencontres ont été très inspirantes et ça m’a donné beaucoup d’idées pour mes nouvelles chansons. Je suis fier du trajet que j’ai fait jusqu’ici, mais il m’en reste beaucoup à faire.
POURQUOI LE TITRE EN CAVALE POUR TON DEUXIÈME ALBUM?
Ce titre représente le sentiment d’évasion qui habite un artiste quand il crée. Quand j’écrivais mes chansons, j’avais aussi à l’esprit les tournées qu’on entreprend, pendant lesquelles on est souvent loin de la famille. À ce moment-là, c’était vraiment le meilleur titre que je pouvais choisir pour m’exprimer.
Martin Giroux, le mercredi 10 décembre au Club Soda, à
http://www.canoe.com/divertissement/musique/entrevues/2008/12/05/7649756-jdm.html
Re: А в Канаде сегодня...
1 MILLION D’ALBUMS VENDUS EN CARRIÈRE
Dan Desnoyers : un DJ comblé
Vanessa Guimond
09-12-2008 | 19h31
Rares sont les DJ québécois qui pourront un jour se vanter d’être détenteurs d’un disque diamant pour avoir vendu 1 million d’albums au cours de leur carrière. Pourtant, c’est le cas du producteur, réalisateur, mixeur et concepteur Dan «D-Noy» Desnoyers qui, avec les Éric Lapointe, Corey Hart, Bruno Pelletier et Céline Dion de ce monde, compte maintenant parmi les artistes d’exception ayant récolté le même honneur au Québec.
Quelques heures avant de recevoir son disque diamant, Dan Desnoyers s’est confié au sujet de son métier de DJ et il a profité de l’occasion pour faire le point sur ses 25 ans de carrière.
Entrevue avec un homme passionné qui adore son métier et qui adore... s’amuser.
La soirée organisée en votre honneur pour la remise de votre disque diamant vous rend-elle nerveux?
C’est vraiment bizarre parce que je n’ai vraiment pas vu venir ce disque diamant. Je suis un gars plutôt terré dans son studio et quand je ne le suis pas, je suis occupé à tourner dans les clubs un peu partout à travers la province. Je voyais les chiffres au fur et à mesure, mais je n’y portais pas attention. C’est mon entourage qui m’a fait remarquer que j’approchais 1 million d’albums vendus en carrière. Je ne réalisais pas que c’était quelque chose que peu de personnes ont réalisé jusqu’à présent.
Si on m’avait dit que j’en avais vendu 600 000, ça n’aurait rien changé pour moi. Ce que j’aime, c’est la musique. Je ne suis pas un gars de statistiques. Je dirais que c’est un peu pour cette raison que je suis nerveux. Habituellement, même si je spinne devant 10 000, 20 000 ou 100 000 personnes, je me sens en contrôle. Je sais exactement quelles chansons je vais jouer. Par contre, je suis beaucoup plus mal à l'aise d’avoir à monter sur un stage pour aller chercher un disque diamant devant tous mes collègues, proches et amis. Ça fait chaud au cœur, mais ça me rend nerveux aussi. Je ne suis pas habitué à ça.
Avec du recul, quelle a été la meilleure décision que vous ayez prise par rapport à votre vie professionnelle en 25 ans de carrière?
Ma meilleure décision a certainement été celle de lancer ma compagnie de disque, D-Noy Muzik, en 2003. Travailler pour des gens, c’est bien, mais c’est plus difficile de pouvoir faire à sa tête. J’aime prendre les suggestions d'autres personnes, mais ce n’est que lorsque j’ai eu ma propre compagnie que j’ai pu décider à 100% de la direction dans laquelle je voulais me diriger ou des projets dans lesquels je souhaitais me lancer.
Après avoir lancé 34 albums, obtenu un disque diamant et vous être produit un peu partout à travers le monde, quel sera votre prochain objectif professionnel?
Pour moi, c’est écrit dans le ciel… Je veux produire la prochaine Love Generation. Je donne toujours l’exemple de cette chanson du DJ Bob Sinclar, car c’est une pièce qui a fonctionné partout à travers le monde. Il y a quelques-unes de mes compositions qui ont connu des succès locaux, en Angleterre, en Espagne ou en France, mais je n’ai pas encore réussi à composer un succès international. C’est mon prochain objectif. Je veux créer une chanson qui va être connue et jouée par une impressionnante masse de gens.
Vous incorporez souvent quelques-unes de vos propres pièces sur vos albums de types compilations. Croyez-vous lancer un jour un album composé uniquement de chansons de votre cru?
Mon travail, c’est de faire découvrir aux Québécois et aux Canadiens les nouvelles tendances musicales. Je n’ai pas la prétention de dire aux gens que mes compositions sont ce qui est tendance. Ce que je fais, c’est que je mets en moyenne deux compositions originales sur mes albums. Le reste, ce sont des chansons que j’ai entendues en voyage ou que certains DJs vont me suggérer. Je participe aussi à plusieurs conventions musicales à travers le monde où je fais plusieurs découvertes intéressantes.
Cependant, je sais que je vais produire un album de compositions originales un jour, mais ce n’est pas dans mon mandat artistique pour l’instant. En ce moment, j’ai énormément de travail, mais j’adore ça! Je suis vraiment heureux de pratiquer le métier de DJ. C’est parfois épuisant, mais ça en vaut la peine!
http://www.canoe.com/divertissement/musique/entrevues/2008/12/09/7689631-ca.html
Dan Desnoyers : un DJ comblé
Vanessa Guimond
09-12-2008 | 19h31
Rares sont les DJ québécois qui pourront un jour se vanter d’être détenteurs d’un disque diamant pour avoir vendu 1 million d’albums au cours de leur carrière. Pourtant, c’est le cas du producteur, réalisateur, mixeur et concepteur Dan «D-Noy» Desnoyers qui, avec les Éric Lapointe, Corey Hart, Bruno Pelletier et Céline Dion de ce monde, compte maintenant parmi les artistes d’exception ayant récolté le même honneur au Québec.
Quelques heures avant de recevoir son disque diamant, Dan Desnoyers s’est confié au sujet de son métier de DJ et il a profité de l’occasion pour faire le point sur ses 25 ans de carrière.
Entrevue avec un homme passionné qui adore son métier et qui adore... s’amuser.
La soirée organisée en votre honneur pour la remise de votre disque diamant vous rend-elle nerveux?
C’est vraiment bizarre parce que je n’ai vraiment pas vu venir ce disque diamant. Je suis un gars plutôt terré dans son studio et quand je ne le suis pas, je suis occupé à tourner dans les clubs un peu partout à travers la province. Je voyais les chiffres au fur et à mesure, mais je n’y portais pas attention. C’est mon entourage qui m’a fait remarquer que j’approchais 1 million d’albums vendus en carrière. Je ne réalisais pas que c’était quelque chose que peu de personnes ont réalisé jusqu’à présent.
Si on m’avait dit que j’en avais vendu 600 000, ça n’aurait rien changé pour moi. Ce que j’aime, c’est la musique. Je ne suis pas un gars de statistiques. Je dirais que c’est un peu pour cette raison que je suis nerveux. Habituellement, même si je spinne devant 10 000, 20 000 ou 100 000 personnes, je me sens en contrôle. Je sais exactement quelles chansons je vais jouer. Par contre, je suis beaucoup plus mal à l'aise d’avoir à monter sur un stage pour aller chercher un disque diamant devant tous mes collègues, proches et amis. Ça fait chaud au cœur, mais ça me rend nerveux aussi. Je ne suis pas habitué à ça.
Avec du recul, quelle a été la meilleure décision que vous ayez prise par rapport à votre vie professionnelle en 25 ans de carrière?
Ma meilleure décision a certainement été celle de lancer ma compagnie de disque, D-Noy Muzik, en 2003. Travailler pour des gens, c’est bien, mais c’est plus difficile de pouvoir faire à sa tête. J’aime prendre les suggestions d'autres personnes, mais ce n’est que lorsque j’ai eu ma propre compagnie que j’ai pu décider à 100% de la direction dans laquelle je voulais me diriger ou des projets dans lesquels je souhaitais me lancer.
Après avoir lancé 34 albums, obtenu un disque diamant et vous être produit un peu partout à travers le monde, quel sera votre prochain objectif professionnel?
Pour moi, c’est écrit dans le ciel… Je veux produire la prochaine Love Generation. Je donne toujours l’exemple de cette chanson du DJ Bob Sinclar, car c’est une pièce qui a fonctionné partout à travers le monde. Il y a quelques-unes de mes compositions qui ont connu des succès locaux, en Angleterre, en Espagne ou en France, mais je n’ai pas encore réussi à composer un succès international. C’est mon prochain objectif. Je veux créer une chanson qui va être connue et jouée par une impressionnante masse de gens.
Vous incorporez souvent quelques-unes de vos propres pièces sur vos albums de types compilations. Croyez-vous lancer un jour un album composé uniquement de chansons de votre cru?
Mon travail, c’est de faire découvrir aux Québécois et aux Canadiens les nouvelles tendances musicales. Je n’ai pas la prétention de dire aux gens que mes compositions sont ce qui est tendance. Ce que je fais, c’est que je mets en moyenne deux compositions originales sur mes albums. Le reste, ce sont des chansons que j’ai entendues en voyage ou que certains DJs vont me suggérer. Je participe aussi à plusieurs conventions musicales à travers le monde où je fais plusieurs découvertes intéressantes.
Cependant, je sais que je vais produire un album de compositions originales un jour, mais ce n’est pas dans mon mandat artistique pour l’instant. En ce moment, j’ai énormément de travail, mais j’adore ça! Je suis vraiment heureux de pratiquer le métier de DJ. C’est parfois épuisant, mais ça en vaut la peine!
http://www.canoe.com/divertissement/musique/entrevues/2008/12/09/7689631-ca.html
Re: А в Канаде сегодня...
Кину сюда, Оль, не знаю, куда пихнуть это. У Габи новость новая: Le spectacle-musical "Dracula-Entre l'amour et la mort" sera présenté ce lundi, 15 décembre à 21h00 à Artv. Suivra aussi le making-of du spectacle!!
Re: А в Канаде сегодня...
да, телеканал (сайт - http://artv.ca/), но я не могу найти в нете его live-трансляцию
diable6- Возраст : 33
Re: А в Канаде сегодня...
Да зачем нам Live трансляция-то?? Двд-то у всех есть. А инфа просто, для сведенья, что там показывают Дракулу по общественному телевидению )))
Re: А в Канаде сегодня...
ну может кто-то хочет встать в 5 утра и прикоснуться к канадскому телевидению)))
tempore- Возраст : 33
Re: А в Канаде сегодня...
Он лайн его нет, да и смысла нет записывать в самом деле. ДВД лучше. А что мейкинга нет, так это поправимо.
Re: А в Канаде сегодня...
Левек какую-то тяжбу выиграл. Кто слышал что-нибудь?
Téléfilm condamnée : des producteurs de disques satisfaits
Alain Brunet
La Presse
Ils sont relativement satisfaits, les producteurs de disques ayant réussi à prouver qu'ils avaient été induits en erreur par des gestionnaires du Programme d'entrepreneurs de la musique (PEM), administré à l'époque par Téléfilm Canada. Un jugement récent de la Cour supérieure a sommé l'organisme de leur verser 900 000 $ plus les intérêts, ce qui porte le total du remboursement à 1,3 million.
À moins d'interjeter appel à la décision de la Cour supérieure, Téléfilm devra remettre un peu plus de 313 000 $ au label Disques Atlantis, 526 000 $ à l'étiquette Productions M.P.V, et 22 000 $ à Disques Artiste (avant intérêts). Rappelons en outre que les réclamations de Disques Atma, Gestion son image inc. et Musicomptoir ont été rejetées.
On se souviendra que le directeur du PEM, Shelley Stein-Sacks, ainsi que l'analyste Nat Meranda, avaient préalablement assuré aux producteurs québécois qu'ils pourraient compter sur des montants substantiels qui ne leur ont jamais été remis. D'où la poursuite contre Téléfilm Canada.
«Nous avions des raisons valables de croire que nous allions recevoir ces sommes. C'est pourquoi nous avions engagé des dépenses afin de réaliser notre plan d'affaires, les délais du PEM étant prévus pour l'année financière du 1er avril 2002 jusqu'au 30 mars 2003», raconte le producteur Michel Sabourin, des Disques Atlantis.
«J'avais alors été obligé d'emprunter sur la base des promesses et des bons commentaires de Shelley Stein-Sacks au sujet du plan d'affaires de mon entreprise. Je lui ai fait confiance et j'ai amorcé la production. Finalement, j'ai essuyé un refus en février 2003, plus ou moins un mois avant la fin de la première année financière du programme. Sur les 26 plus importantes maisons de disques canadienne, seulement 13 avaient finalement obtenu des sommes.»
Michel Sabourin estime que les «dommages réels» de cette gestion du PEM sont plus élevés pour lui que le montant déterminé en sa faveur dans le jugement de la Cour supérieure: «J'ai perdu mon répertoire, j'ai été obligé de me placer sous la protection de la loi sur la faillite. J'ai alors conclu une entente avec mes créanciers, les montants garantis ont depuis été remboursés presque intégralement. Mais je suis maintenant hors compétition, je produis désormais un disque par année.»
Même son de cloche chez Martyne Prévost, qui était à la barre des Productions MPV en 2003.
«Ça a été une longue lutte, c'est une mince consolation même si le montant prévu par le jugement est intéressant. Ça a été rough! J'avais été obligée de cesser mes opérations de disques, je n'avais plus de liquidités pour produire et faire la promotion d'albums. J'ai dû ensuite fusionner mes entreprises, me réorganiser. À l'époque, j'avais Patou qui battait son plein à TVA, un disque était en chantier. C'était vraiment un gros projet. J'avais aussi Groovy Aardvark qui sortait un nouvel album et Sophie Laganière, une artiste jeunesse sur qui j'avais investi énormément d'argent... et que j'ai dû laisser en plan.»
Paul Lévesque, patron des Disques Artiste (Bruno Pelletier, Marie-Pier Perreault, Mathieu Provençal), ne cache pas sa satisfaction même s'il craint que la partie ne soit pas encore gagnée: «On essaie de savoir si Téléfilm Canada ira en appel, on se frappe aujourd'hui à un mur. Mais je suis content pour le principe, même si je n'ai obtenu que 22 000$ dans ce jugement. Nous avions vraiment été induits en erreur. Je me réjouis également que ce programme (rebaptisé Volet entrepreneurs de la musique) soit désormais administré par le ministère du Patrimoine canadien plutôt que par Téléfilm Canada.»
«Après toutes ces complications, conclut Martyne Prévost, il serait assez odieux de la part de Téléfilm Canada que d'aller en appel.»
http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/200812/11/01-809431-telefilm-condamnee-des-producteurs-de-disques-satisfaits.php
Téléfilm condamnée : des producteurs de disques satisfaits
Alain Brunet
La Presse
Ils sont relativement satisfaits, les producteurs de disques ayant réussi à prouver qu'ils avaient été induits en erreur par des gestionnaires du Programme d'entrepreneurs de la musique (PEM), administré à l'époque par Téléfilm Canada. Un jugement récent de la Cour supérieure a sommé l'organisme de leur verser 900 000 $ plus les intérêts, ce qui porte le total du remboursement à 1,3 million.
À moins d'interjeter appel à la décision de la Cour supérieure, Téléfilm devra remettre un peu plus de 313 000 $ au label Disques Atlantis, 526 000 $ à l'étiquette Productions M.P.V, et 22 000 $ à Disques Artiste (avant intérêts). Rappelons en outre que les réclamations de Disques Atma, Gestion son image inc. et Musicomptoir ont été rejetées.
On se souviendra que le directeur du PEM, Shelley Stein-Sacks, ainsi que l'analyste Nat Meranda, avaient préalablement assuré aux producteurs québécois qu'ils pourraient compter sur des montants substantiels qui ne leur ont jamais été remis. D'où la poursuite contre Téléfilm Canada.
«Nous avions des raisons valables de croire que nous allions recevoir ces sommes. C'est pourquoi nous avions engagé des dépenses afin de réaliser notre plan d'affaires, les délais du PEM étant prévus pour l'année financière du 1er avril 2002 jusqu'au 30 mars 2003», raconte le producteur Michel Sabourin, des Disques Atlantis.
«J'avais alors été obligé d'emprunter sur la base des promesses et des bons commentaires de Shelley Stein-Sacks au sujet du plan d'affaires de mon entreprise. Je lui ai fait confiance et j'ai amorcé la production. Finalement, j'ai essuyé un refus en février 2003, plus ou moins un mois avant la fin de la première année financière du programme. Sur les 26 plus importantes maisons de disques canadienne, seulement 13 avaient finalement obtenu des sommes.»
Michel Sabourin estime que les «dommages réels» de cette gestion du PEM sont plus élevés pour lui que le montant déterminé en sa faveur dans le jugement de la Cour supérieure: «J'ai perdu mon répertoire, j'ai été obligé de me placer sous la protection de la loi sur la faillite. J'ai alors conclu une entente avec mes créanciers, les montants garantis ont depuis été remboursés presque intégralement. Mais je suis maintenant hors compétition, je produis désormais un disque par année.»
Même son de cloche chez Martyne Prévost, qui était à la barre des Productions MPV en 2003.
«Ça a été une longue lutte, c'est une mince consolation même si le montant prévu par le jugement est intéressant. Ça a été rough! J'avais été obligée de cesser mes opérations de disques, je n'avais plus de liquidités pour produire et faire la promotion d'albums. J'ai dû ensuite fusionner mes entreprises, me réorganiser. À l'époque, j'avais Patou qui battait son plein à TVA, un disque était en chantier. C'était vraiment un gros projet. J'avais aussi Groovy Aardvark qui sortait un nouvel album et Sophie Laganière, une artiste jeunesse sur qui j'avais investi énormément d'argent... et que j'ai dû laisser en plan.»
Paul Lévesque, patron des Disques Artiste (Bruno Pelletier, Marie-Pier Perreault, Mathieu Provençal), ne cache pas sa satisfaction même s'il craint que la partie ne soit pas encore gagnée: «On essaie de savoir si Téléfilm Canada ira en appel, on se frappe aujourd'hui à un mur. Mais je suis content pour le principe, même si je n'ai obtenu que 22 000$ dans ce jugement. Nous avions vraiment été induits en erreur. Je me réjouis également que ce programme (rebaptisé Volet entrepreneurs de la musique) soit désormais administré par le ministère du Patrimoine canadien plutôt que par Téléfilm Canada.»
«Après toutes ces complications, conclut Martyne Prévost, il serait assez odieux de la part de Téléfilm Canada que d'aller en appel.»
http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/200812/11/01-809431-telefilm-condamnee-des-producteurs-de-disques-satisfaits.php
Re: А в Канаде сегодня...
Storm-related Ontario hydro woes could last days
Updated: Sun Dec. 28 2008 10:30:47 PM
ctvtoronto.ca
Around 180,000 customers were without electricity in southwest and central Ontario Sunday night after wind gusts of up to 100 kilometres per hour swept across the province -- and it could be days before everyone's lights are back on.
"It's one of the bigger storms we've had in recent years, unfortunately," Danielle Gauvin, a Hydro One spokesperson, told ctvtoronto.ca on Sunday...
Full article: http://toronto.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20081228/ont_wind_081228/20081228?hub=Toronto
Updated: Sun Dec. 28 2008 10:30:47 PM
ctvtoronto.ca
Around 180,000 customers were without electricity in southwest and central Ontario Sunday night after wind gusts of up to 100 kilometres per hour swept across the province -- and it could be days before everyone's lights are back on.
"It's one of the bigger storms we've had in recent years, unfortunately," Danielle Gauvin, a Hydro One spokesperson, told ctvtoronto.ca on Sunday...
Full article: http://toronto.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20081228/ont_wind_081228/20081228?hub=Toronto
Re: А в Канаде сегодня...
Benoit Huot: l'inspiration des élèves de Sainte-Maria-Goretti
Le nageur paralympique donne une conférence sur la persévérance
Les élèves de la troisième à la sixième année de l'école Sainte-Maria-Goretti ont reçu la visite d'un modèle d'inspiration, le 14 janvier dernier. Multiple médaillé aux Jeux paralympiques, le nageur Benoit Huot s'est entretenu avec 255 jeunes au gymnase de l'école.
L'athlète originaire de Saint-Hubert, qui fêtera son 25e anniversaire le 24 janvier, agit comme conférencier depuis déjà une décennie. Chaque année, il visite les écoles du Québec, ainsi que différentes entreprises et chambres de commerce, dans le cadre du programme « Jouez gagnant », soutenu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport et le Comité olympique canadien. Benoit Huot profite de ses passages pour faire la promotion des valeurs et bienfaits de l’activité physique. C'était la première fois qu'il dédiait son temps aux élèves de Pointe-aux-Trembles.
« Je fais du bénévolat dans les écoles pour inciter les jeunes à croire en leurs rêves et pour leur prouver que rien n'est impossible, dit-il. Il m'arrive de visiter cinq ou six écoles la même journée. »
Une première
L'école Sainte-Maria-Goretti a déjà reçu la visite de personnalités connues comme le chanteur Bruno Pelletier ou l'aventurier Bernard Voyer, mais question de bien cadrer dans son thème annuel « Je m'active et je me cultive », c'était la première fois qu'elle recevait un athlète paralympique.
« Nous avons tendu plusieurs perches pour avoir la présence d'un athlète paralympique à notre école. Benoit Huot est un exemple parfait de persévérance et de désir de se dépasser », affirme Julie Noreau, enseignante et l'une des artisanes de ce projet.
Durant sa conférence, Benoit Huot a fait une présentation avec diaporama sur son cheminement avant de répondre aux nombreuses questions des élèves. Il a également signé des centaines d'autographes.
Source d'inspiration indéniable
L'histoire digne de mention de Benoit Huot peut inspirer quiconque cherchant un élan de motivation, notamment ceux qui aspirent à la gloire dans le monde du sport.
Le nageur est né avec un pied bot, c'est-à-dire une malformation osseuse du pied, accompagnée d’une rétraction des tendons et des muscles. Dès sa deuxième journée d'existence, on lui a mis la jambe droite dans un plâtre afin de corriger la forme de son pied. Après une intervention chirurgicale et 18 mois sans pouvoir bouger adéquatement sa jambe, on lui a retiré son plâtre.
Il a cependant dû porter des prothèses la nuit et des chaussures orthopédiques pendant cinq ans. Malgré tout, son mollet est demeuré atrophié, sa cheville est faible, peu mobile, sans compter que son pied droit est plus petit que son pied gauche.
Qu'à cela ne tienne, ce handicap n'a pas empêché Benoit Huot de remporter 16 médailles aux Jeux paralympiques. Il a notamment enlevé l'or et l'argent trois fois à Sydney, en 2000, puis il a remporté cinq titres aux Jeux d'Athènes, quatre ans plus tard.
Dernièrement, il s'est présenté à Pékin afin d'augmenter sa récolte, mais un virus a freiné quelque peu ses élans. Il s'est « contenté » de quatre médailles de bronze.
Prêt à redoubler d'ardeur pour les Jeux de Londres, en 2012, Benoit Huot poursuit son entraînement aux petites heures du matin. Son réveil sonne à 4 h 30 et il est dans la piscine une heure et demie plus tard.
Parallèlement à la natation, il poursuit ses études en communication à l’Université du Québec à Montréal. Considérant qu'il dédie aussi une partie de son temps pour donner des conférences, son horaire est, avouons-le, assez chargé.
http://www.avenirdelest.com/article-293447-Benoit-Huot-linspiration-des-eleves-de-SainteMariaGoretti.html
Le nageur paralympique donne une conférence sur la persévérance
Les élèves de la troisième à la sixième année de l'école Sainte-Maria-Goretti ont reçu la visite d'un modèle d'inspiration, le 14 janvier dernier. Multiple médaillé aux Jeux paralympiques, le nageur Benoit Huot s'est entretenu avec 255 jeunes au gymnase de l'école.
L'athlète originaire de Saint-Hubert, qui fêtera son 25e anniversaire le 24 janvier, agit comme conférencier depuis déjà une décennie. Chaque année, il visite les écoles du Québec, ainsi que différentes entreprises et chambres de commerce, dans le cadre du programme « Jouez gagnant », soutenu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport et le Comité olympique canadien. Benoit Huot profite de ses passages pour faire la promotion des valeurs et bienfaits de l’activité physique. C'était la première fois qu'il dédiait son temps aux élèves de Pointe-aux-Trembles.
« Je fais du bénévolat dans les écoles pour inciter les jeunes à croire en leurs rêves et pour leur prouver que rien n'est impossible, dit-il. Il m'arrive de visiter cinq ou six écoles la même journée. »
Une première
L'école Sainte-Maria-Goretti a déjà reçu la visite de personnalités connues comme le chanteur Bruno Pelletier ou l'aventurier Bernard Voyer, mais question de bien cadrer dans son thème annuel « Je m'active et je me cultive », c'était la première fois qu'elle recevait un athlète paralympique.
« Nous avons tendu plusieurs perches pour avoir la présence d'un athlète paralympique à notre école. Benoit Huot est un exemple parfait de persévérance et de désir de se dépasser », affirme Julie Noreau, enseignante et l'une des artisanes de ce projet.
Durant sa conférence, Benoit Huot a fait une présentation avec diaporama sur son cheminement avant de répondre aux nombreuses questions des élèves. Il a également signé des centaines d'autographes.
Source d'inspiration indéniable
L'histoire digne de mention de Benoit Huot peut inspirer quiconque cherchant un élan de motivation, notamment ceux qui aspirent à la gloire dans le monde du sport.
Le nageur est né avec un pied bot, c'est-à-dire une malformation osseuse du pied, accompagnée d’une rétraction des tendons et des muscles. Dès sa deuxième journée d'existence, on lui a mis la jambe droite dans un plâtre afin de corriger la forme de son pied. Après une intervention chirurgicale et 18 mois sans pouvoir bouger adéquatement sa jambe, on lui a retiré son plâtre.
Il a cependant dû porter des prothèses la nuit et des chaussures orthopédiques pendant cinq ans. Malgré tout, son mollet est demeuré atrophié, sa cheville est faible, peu mobile, sans compter que son pied droit est plus petit que son pied gauche.
Qu'à cela ne tienne, ce handicap n'a pas empêché Benoit Huot de remporter 16 médailles aux Jeux paralympiques. Il a notamment enlevé l'or et l'argent trois fois à Sydney, en 2000, puis il a remporté cinq titres aux Jeux d'Athènes, quatre ans plus tard.
Dernièrement, il s'est présenté à Pékin afin d'augmenter sa récolte, mais un virus a freiné quelque peu ses élans. Il s'est « contenté » de quatre médailles de bronze.
Prêt à redoubler d'ardeur pour les Jeux de Londres, en 2012, Benoit Huot poursuit son entraînement aux petites heures du matin. Son réveil sonne à 4 h 30 et il est dans la piscine une heure et demie plus tard.
Parallèlement à la natation, il poursuit ses études en communication à l’Université du Québec à Montréal. Considérant qu'il dédie aussi une partie de son temps pour donner des conférences, son horaire est, avouons-le, assez chargé.
http://www.avenirdelest.com/article-293447-Benoit-Huot-linspiration-des-eleves-de-SainteMariaGoretti.html
Re: А в Канаде сегодня...
Accompagné de sept talentueux musiciens de Bellechasse et de Québec, l'auteur-compositeur-interprète Marc Garant de Saint-Lazare a comblé les 400 personnes qui ont assisté à son spectacle «Après la pluie», présenté le 28 février dernier à la Maison de la Culture de Bellechasse, par son professionnalisme et sa présence charismatique sur scène.
Bien connu dans la région pour ses performances au sein du groupe vocal L'Air du Temps, M. Garant a su charmer l'auditoire par son interprétation sans faille des dix chansons originales se retrouvant sur son premier CD, «Après la pluie» et d'une douzaine de reprises de chansons d'artistes de tous genres, tels Bruno Pelletier, Richard Desjardins, CCR et Norah Jones.
Les spectateurs ont également apprécié le jeu des musiciens qui accompagnaient M. Garant, à savoir Jean-François Aubin (piano), François Dumas (violon, violon alto, contrebasse), Mike Labonté (guitares acoustique et classique, violon, mandoline et harmonica), Manon Fradette (violoncelle et basse), Julie Nolet (choriste), François Demers (guitare électrique) et Sébastien Demers (batterie), de même que le concept scénique du spectacle (Le cabaret des temps doux), les transitions entre les chansons et les blagues de M. Garant.
Seule ombre au tableau, les quelques ratés au niveau de la technique (voix et son des instruments pas assez forts à certains moments). «Tout ce que je pouvais contrôler s'est parfaitement déroulé. Les seuls pépins du spectacle étaient hors de note contrôle», a d'ailleurs mentionné Marc Garant, qui entreprendra des démarches pour produire le spectacle sur d'autres scènes de la région.
D'ici peu, l'artiste pourra compter sur un outil promotionnel de premier ordre, puisque le Groupe Artson Québec a filmé son spectacle avec deux caméras dans le but de produire un DVD. Le président Steeve Lapointe a mentionné que celui-ci devrait être disponible d'ici deux mois.
Par ailleurs, les personnes intéressées à se procurer le CD de Marc Garant peuvent le faire en se rendant au dépanneur Julie Chabot de Saint-Lazare, à la boulangerie-pâtisserie artisanale La Fournée des artisans de Sainte-Claire, chez Alimentation Côté et Morin (Bonichoix) de Saint-Lazare, au dépanneur J.R. Lachance de Saint-Damien et au bar Le Beau Site de Buckland.
http://www.lavoixdusud.com/article-311529-Marc-Garant-fait-vibrer-la-Maison-de-la-Culture.html
Bien connu dans la région pour ses performances au sein du groupe vocal L'Air du Temps, M. Garant a su charmer l'auditoire par son interprétation sans faille des dix chansons originales se retrouvant sur son premier CD, «Après la pluie» et d'une douzaine de reprises de chansons d'artistes de tous genres, tels Bruno Pelletier, Richard Desjardins, CCR et Norah Jones.
Les spectateurs ont également apprécié le jeu des musiciens qui accompagnaient M. Garant, à savoir Jean-François Aubin (piano), François Dumas (violon, violon alto, contrebasse), Mike Labonté (guitares acoustique et classique, violon, mandoline et harmonica), Manon Fradette (violoncelle et basse), Julie Nolet (choriste), François Demers (guitare électrique) et Sébastien Demers (batterie), de même que le concept scénique du spectacle (Le cabaret des temps doux), les transitions entre les chansons et les blagues de M. Garant.
Seule ombre au tableau, les quelques ratés au niveau de la technique (voix et son des instruments pas assez forts à certains moments). «Tout ce que je pouvais contrôler s'est parfaitement déroulé. Les seuls pépins du spectacle étaient hors de note contrôle», a d'ailleurs mentionné Marc Garant, qui entreprendra des démarches pour produire le spectacle sur d'autres scènes de la région.
D'ici peu, l'artiste pourra compter sur un outil promotionnel de premier ordre, puisque le Groupe Artson Québec a filmé son spectacle avec deux caméras dans le but de produire un DVD. Le président Steeve Lapointe a mentionné que celui-ci devrait être disponible d'ici deux mois.
Par ailleurs, les personnes intéressées à se procurer le CD de Marc Garant peuvent le faire en se rendant au dépanneur Julie Chabot de Saint-Lazare, à la boulangerie-pâtisserie artisanale La Fournée des artisans de Sainte-Claire, chez Alimentation Côté et Morin (Bonichoix) de Saint-Lazare, au dépanneur J.R. Lachance de Saint-Damien et au bar Le Beau Site de Buckland.
http://www.lavoixdusud.com/article-311529-Marc-Garant-fait-vibrer-la-Maison-de-la-Culture.html
Re: А в Канаде сегодня...
Тихо мирно сижу, никого не трогаю...
качаю с фолдера и вдруг: бабах! Реклама!
Из кризиса первой выйдет Канада!
только я по привычке закрыла... а надо было бы почитать...
Пардон, а в чем заключается сия уверенность, может, кто знает?
качаю с фолдера и вдруг: бабах! Реклама!
Из кризиса первой выйдет Канада!
только я по привычке закрыла... а надо было бы почитать...
Пардон, а в чем заключается сия уверенность, может, кто знает?
AnjaliKajol- Возраст : 33
Re: А в Канаде сегодня...
30 ans de "Starmania" : France Gall déçoit
Si les fans de la comédie musicale de Michel Berger attendaient avec impatience cette émission orchestrée par France Gall depuis de longs mois afin de célébrer les 30 ans de "Starmania", quelle ne fût pas leur déception d'apprendre que les invités seraient Jenifer, Grégoire, ou Amel Bent...
«On s'attendait vraiment à autre chose qu'à des ex-candidats de télé-réalité pour rendre hommage à "Starmania"» déclare un fan sur un des forums de la comédie musicale créé en 1978 par Michel Berger et Luc Plamondon. Le ton est donné !
France Gall orchestre cet hommage qui sera diffusé en prime-time le 24 avril prochain sur France 2, et quand on connait l'exigence de cette dernière vis à vis des hommages rendus à l'œuvre de son mari, on s'attendait vraiment à autre chose que de voir défiler sur le plateau : Jenifer, Grégoire, Amel Bent, Julien Doré, Christophe Willem, Nolwenn Leroy, Amandine Bourgeois de "Nouvelle Star", la troupe de "Mozart" ou Pauline ! Très certainement conviés pour attirer la jeune génération, une question se pose cependant : audience recherchée ou désir de fidéliser un nouveau public aux chansons cultes et intemporelles de Berger et Plamondon ? Car si nous ne remettons pas en question le talent de ces artistes, qui de mieux pour parler de "Starmania" que ceux qui l'ont fait, ou que ceux qui ont connu Michel Berger ?
Avec France Gall en maîtresse de cette émission “revival”, on s'attendait en effet à plus d'anecdotes de la part des protagonistes originaux de l'époque, et de ceux qui les ont succédés au sein des différentes versions. Où sont passés Nanette Workman, Roddy Julienne, Martine St-Clair, Isabelle Boulay, Bruno Pelletier, Jasmine Roy, Patsy Gallant, Andy Cocq... ? Heureusement, Maurane, Renaud Hantson, Diane Dufresne et Peter Kingsberry devraient être présents.
Quoiqu'il en soit, les aficionados risquent d'être sacrément déçus. A suivre...
Thierry CADET, le jeudi 02 avril 2009
Si les fans de la comédie musicale de Michel Berger attendaient avec impatience cette émission orchestrée par France Gall depuis de longs mois afin de célébrer les 30 ans de "Starmania", quelle ne fût pas leur déception d'apprendre que les invités seraient Jenifer, Grégoire, ou Amel Bent...
«On s'attendait vraiment à autre chose qu'à des ex-candidats de télé-réalité pour rendre hommage à "Starmania"» déclare un fan sur un des forums de la comédie musicale créé en 1978 par Michel Berger et Luc Plamondon. Le ton est donné !
France Gall orchestre cet hommage qui sera diffusé en prime-time le 24 avril prochain sur France 2, et quand on connait l'exigence de cette dernière vis à vis des hommages rendus à l'œuvre de son mari, on s'attendait vraiment à autre chose que de voir défiler sur le plateau : Jenifer, Grégoire, Amel Bent, Julien Doré, Christophe Willem, Nolwenn Leroy, Amandine Bourgeois de "Nouvelle Star", la troupe de "Mozart" ou Pauline ! Très certainement conviés pour attirer la jeune génération, une question se pose cependant : audience recherchée ou désir de fidéliser un nouveau public aux chansons cultes et intemporelles de Berger et Plamondon ? Car si nous ne remettons pas en question le talent de ces artistes, qui de mieux pour parler de "Starmania" que ceux qui l'ont fait, ou que ceux qui ont connu Michel Berger ?
Avec France Gall en maîtresse de cette émission “revival”, on s'attendait en effet à plus d'anecdotes de la part des protagonistes originaux de l'époque, et de ceux qui les ont succédés au sein des différentes versions. Où sont passés Nanette Workman, Roddy Julienne, Martine St-Clair, Isabelle Boulay, Bruno Pelletier, Jasmine Roy, Patsy Gallant, Andy Cocq... ? Heureusement, Maurane, Renaud Hantson, Diane Dufresne et Peter Kingsberry devraient être présents.
Quoiqu'il en soit, les aficionados risquent d'être sacrément déçus. A suivre...
Thierry CADET, le jeudi 02 avril 2009
Re: А в Канаде сегодня...
Le baryton Étienne Dupuis (Johnny Rockfort), entouré des danseurs de la version lyrique de Starmania, l’opéra rock créé il y a plus de 30 ans par Luc Plamondon et le défunt Michel Berger.
Starmania Opéra : Opérapolis
MARC-ANDRÉ LEMIEUX, MÉTRO
13 mars 2009 12:40
Tout le monde connaît les chansons de Starmania. Qu’on le veuille ou non, on a tous fredonné, à un moment ou à un autre, Le blues du businessman, taper du pied – pour ne pas dire danser – sur Ce soir on danse à Naziland, ou encore sombrer dans la déprime sur l’air du Monde est stone... Voilà pourquoi il est facile de croire que l’œuvre de Luc Plamondon et de Michel Berger n’a plus de secret pour personne.
Erreur.
Plus de 30 ans après leur création, les chansons du célèbre tandem franco-québécois reprennent vie dans une version lyrique. Monopolis, Les uns contre les autres, Quand on arrive en ville… Fini, l’opéra rock. Vive l’opéra classique!
Présenté l’été dernier à Québec dans le cadre des festivités du 400e de la Vieille Capitale, Starmania Opéra débarque à Montréal pour une série de représentations à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.
L’homme derrière cette draconiennne métamorphose, c’est Simon Leclerc.
Compositeur et chef d’orchestre, il a accepté d’assurer la direction musicale de cette nouvelle production il y a de cela quelques années, après avoir reçu un coup de fil de Luc Plamondon.
Ce qui, à l’origine, devait être un simple concert symphoni­que s’est par la suite transformé en
une véritable aventure qui compte aujourd’hui sur la participation d’une soixantaine de musiciens, de huit danseurs, de sept chanteurs lyriques, sans oublier les costumes avant-gardistes et une mise en scène faisant appel au multimédia.
«Quand Luc m’a parlé de ce projet-là, il a fallu que j’y réfléchisse un peu, raconte Simon Leclerc. Je devais trouver une facture, une approche qui fasse en sorte que ces mélodies populaires fonctionnent à l’intérieur d’un habit opératique. La chance que j’avais, c’est que Michel Berger était un très, très bon mélodiste. C’est quelqu’un qui a baigné dans la musique classique quand il était jeune. Ses mélodies étaient plus lyriques que pop-rock, ce qui a grandement facilité mon travail.»
Accessible à un vaste public, cette nouvelle mouture de Starmania? «Pour être parfaitement honnête, il y a une courte période d’adaptation de deux ou trois minutes, répond Simon Leclerc. Après ça, le spectateur ne peut faire autrement que d’embarquer dans cet univers-là.»
Dans l’ombre
Issu des Petits Chanteurs du Mont-Royal, Simon Leclerc a commencé par être choriste pour Céline Dion avant de gagner sa vie comme arrangeur, un métier qu’il a exercé pendant plus de
20 ans, travaillant avec les plus grandes étoiles de la chanson populaire, dont Isabelle Boulay, Bruno Pelletier, Jean-Pierre Ferland, Claude Dubois, Gilles Vigneault et Michel Rivard.
Il a accroché ses patins il y a deux ans, au terme d’une tournée de spectacles avec Charles Aznavour.
«Je sentais le besoin de m’exprimer autrement, explique-t-il. J’ai passé une grande partie de ma vie à tenter de soutenir le mieux possible la création des autres. Je suis heureux de l’avoir fait, mais je voulais passer à autre chose.»
Deux de ses projets impliquent d’ailleurs des membres de la distribution de Starmania Opéra. Le premier est l’écriture d’une série de chansons pour le baryton Étienne Dupuis (Johnny Rockfort), et le second est une collaboration avec la soprano Marie-Josée Lord (Marie-Jeanne).
Le baryton Étienne Dupuis (Johnny Rockfort), entouré des danseurs de la version lyrique de Starmania, l’opéra rock créé il y a plus de 30 ans par Luc Plamondon et le défunt Michel Berger.
Starmania Opéra À la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts
Les 14, 18, 19, 21, 23, 26 et 28 mars
http://www.journalmetro.com/Culture/article/195684
Re: А в Канаде сегодня...
Так это и есть тот дяденька, который так не по-джоннирокфорски спел с Брюно Quand on arrive...
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